Walden est abandonné en pleine forêt par son père, qui veut en faire un homme. Une cabane perdue au fond des immenses forêts du Maine. C’est là qu'il se retrouve à l’issue d’une improbable virée avec son père à bord d’une vieille Chevrolet rouge. À partir de maintenant, le garçon va devoir jouer les Robinson et se débrouiller pour survivre dans les bois. Ne lui restent que quelques boîtes de conserves, un livre de Thoreau et une carabine. À la fin de chaque journée, Walden note son âge sur une écorce de rondin : douze ans, sept mois et quatre jours, au moment où commence son étrange apprentissage… Une extraordinaire odyssée dans la nature, où chaque événement quotidien devient une épreuve.
Points forts: À voir ce résumé, vous vous disez probablement: "Tiens, une histoire de survie en forêt!". Vous n'avez pas tort, et j'ai pensé la même chose quand j'ai vu ce livre. Mais c'est beaucoup plus que cela. Voilà ce qui fait la force de ce livre: on ne s'attend à une histoire plutôt simple, mais qui est en fait vraiment dévellopée et avec une fin... Non, pas juste la fin, toutes les péripéties, toute l'intrigue, la base de l'histoire est innatendue, d'une portée extraordinaire. Aussi, je trouve que la narration est bien faite: on raconte bien sur l'histoire dans un ordre chronologique, mais il y a deux personnages, Walden et son père, qui sont à deux endroits différents en même temps. Eh bien, la transition entre les deux est faite au bon moment, tout comme les retours en arrière. Le prologue lui aussi est très réussi, on a assez d'information, mais pas trop non plus, et on ne comprend pas trop le lien avec l'histoire au début. Quoi de mieux pour capter notre attention qu'un mystère pour commencer!
Points faibles: La fin est tout de suite après que l'action se termine, c'est correct. Mais j'aurais aimé que l'on aie une épilogue qui se passe quelques mois plus tard pour savoir ce qui arrive aux personnages.
Note:
Par Lorris Murail. Douze ans, sept mois et onze jours. Pocket Jeunesse (302 p.)
Points faibles: La fin est tout de suite après que l'action se termine, c'est correct. Mais j'aurais aimé que l'on aie une épilogue qui se passe quelques mois plus tard pour savoir ce qui arrive aux personnages.
Note:
Par Lorris Murail. Douze ans, sept mois et onze jours. Pocket Jeunesse (302 p.)
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