Quand Amed pleure, Aziz pleure aussi. Quand Aziz rit, Amed rit aussi. Ces frères jumeaux auraient pu vivre paisiblement à l’ombre des orangers. Mais un obus traverse le ciel, tuant leurs grands-parents. La guerre s’empare de leur enfance et sépare leurs destins. Des hommes viennent réclamer vengeance pour le sang versé. Amed, à moins que ce ne soit Aziz, devra consentir au plus grand des sacrifices. Et tous payeront le tribut des martyrs, les morts comme ceux qui restent.
Points forts: Le livre est très simple: peu de descriptions, des phrases courtes tout au long du roman. Cependant, cela rend les émotions que la lecture de ce roman nous fait vivre plus présentes, plus brutes, plus directes. Elles viennent nous toucher plus directement. Le roman ne manque pas d'action non plus. Ce n'est pas le plus important dans le roman, mais cela l'empêche d'être ennuyeux.
Points faibles: La fin, je crois, présente une morale, mais ce n'est pas clair et on n'est pas sûrs du but de ce livre. Elle laisse un peu perplexe.
Note:1/2
Note:1/2
Par Larry Tremblay. L'orangeraie. Éditions Alto (168 p.)
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